L'étude Allara Health met en lumière l'impact du SOPK sur la productivité au travail et souligne les disparités raciales et en matière de santé mentale

Une étude révolutionnaire dirigée par le Dr Heather Huddleston, MD, et menée par Allara Health en collaboration avec la clinique du SOPK de l'Université de Californie à San Francisco, a dévoilé l'impact profond du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) sur la productivité au travail des femmes. La recherche, la première du genre, intitulée « Perte de productivité due au syndrome des ovaires polykystiques et sa relation avec les indices de race, de santé mentale et de prestation de soins de santé », se penche sur les perturbations professionnelles causées par le SOPK, une maladie qui affecte des millions de femmes en âge de procréer. .

Le Dr Huddleston a souligné les périodes critiques au cours desquelles les symptômes du SOPK s'aggravent souvent, ce qui correspond au lancement de nombreuses carrières de femmes, pouvant ainsi faire dérailler leur progression professionnelle. L'étude, portant sur plus de 1 000 femmes américaines diagnostiquées avec le SOPK, a découvert un lien significatif entre l'absentéisme au travail et la nécessité de recourir à plusieurs prestataires de santé pour le diagnostic et les soins continus, soulignant les besoins complexes en matière de soins de santé des personnes atteintes du SOPK.

En outre, l'étude a identifié une interaction multiforme entre la race, la santé mentale et l'accessibilité aux soins de santé, affectant particulièrement les femmes noires et celles insatisfaites de la gestion de leur SOPK - les identifiant comme des facteurs contribuant aux absences du travail. Plus de la moitié des participants ont déclaré s'être absentés du travail en raison du SOPK, et 72 % d'entre eux ont reconnu ses implications négatives sur la qualité du travail et l'avancement de carrière.

Allara Health, grâce à sa plateforme innovante de soins virtuels, aborde le SOPK avec une approche globale, prenant en compte le mode de vie, les besoins nutritionnels et d'exercice de chaque individu. Rachel Blank, PDG d'Allara, a souligné l'importance d'adapter les plans de soins aux variations de style de vie uniques de chaque employé afin de gérer efficacement les symptômes.

L'étude se termine par un appel à des recherches plus approfondies pour élargir notre compréhension et développer des stratégies plus efficaces pour gérer le SOPK sur le lieu de travail. Cela implique de plaider en faveur de modèles de soins intégrés et de ressources éducatives améliorées pour les prestataires de soins de santé et les employeurs.